Je reprends le titre du bouquin de Gérard Boulant, des plus utile pour qui se lance dans la rénovation de sa coque osmosée. Premier constat, prendre le temps de peler tout le gelcoat. Ce qui veut dire une (très) longue immobilisation de son bateau. Pour ma part je suis dans le port à sec de Port Napoléon, tranquille pour un moment.
Osmose
J'en Ă©tait lĂ , j'aurais du commencer le pelage dĂ©s le dĂ©but: encore eut-il fallu que je le susse !
J'ai d'abord crevé les cloques, pour voir, ou plutôt sentir, le vinaigre. Puis j'ai enlevé la peinture (à faire en premier).
Puis j'ai essayé avec une disqueuse. En dehors de créer une surface trop lisse, qui ne favorise pas le séchage, cela génère trop de poussières = aire de carénage et outil avec aspirateur.
Puis je me suis lancé, avec un ciseau à bois, ce qui nécessite:

  1. Trouver l'outil qui "marche" (1 seul sur les 5 dont je dispose, en "acier chinois" premier prix)
  2. Avoir un gelcoat plus vraiment dur

Etat actuel: pelage