Coup d'œil après coup d'œil, ce safran a une tête qui ne me revient pas. En CTP, qu'il laisse voir complaisamment, j'ai peur que l'eau ne se soit infiltrée. Donc, je racle la vieille peinture.
Quoi, c'est tout, seulement de la peinture? Avec peut-être un primaire?
Des tâches noires, Bof, pas de quoi fouetter un chat. Puis à force de tourner autour, je me décide à le déposer:

  1. Démontage de la tête de barre en bronze.
  2. Puis de la crapaudine: les vis sont à peine un peu dures. Pas d'écrou: la crapaudine est filetée (le mastic au remontage ne sera pas de trop).
  3. Çà butte sur le sol, heureusement en terre: un petit trou et voila le safran sur ses tréteaux.
  4. Désolidarisation de la crapaudine qui était resté en place sur la mèche. Pour cela on fait sauter le bloc de bois cloué par le chantier: sur la photo, le "trou" sous la mèche.

Pas de trop, celui-ci est pourri, et commençait à contaminer le safran (traces noires, mais pas de pourriture).
Par contre, du bois à enlever autour de la mèche (en haut et surtout en bas) pour atteindre la partie saine.

Changement des paliers nylon en vue, 2 dans le tube jaumière et 1 dans la crapaudine.