Le tour du monde de NĂ©o-vent de Pierre Auboiroux. Je viens de commencer le livre.
Impression 1: le style vivant, la plume sans fioriture d'un "qui s'est lancé" et le raconte sans forfanterie.
Impression 2: quel bagne c'était parfois la navigation sans pilote, surtout avec ce type de bateau qui tenait mal la route barre amarrée, sitôt passé le vent de travers. 20/30 heures sans quasiment lâcher la barre! Fatigue immense , hallucinations. Mais comment faisaient-ils, les Bardiaux, Gerbault,... pour tenir.
La suite lors d'un prochain billet..